La marijuana est une plante à la fois forte et fragile. Il faut savoir au départ que les plantations intérieures demandent beaucoup de travail, d'entretient, de prudence et d'argent. Nous allons tentez de vous expliquer, dans ce très court texte, comment faire votre propre plantation intérieure. Nous allons vous proposez plusieurs modèles d'éclairage, de plantations et de gadjets que vous pourrez utilisez si vous décidez de vous faire un petit jardin dans quelques recoins de votre chez-vous...
Étape 01, Construire l'emplacement idéal
1)
L'endroit peut être un placard, la partie d'une chambre, une cave,
un grenier ou une salle de bain inutilisé. Certaines personnes affectent
une chambres totales à la culture. L'endroit doit être sans
fuite, de manière à ce qu'ont ne voit pas de lumières
suspicieuses de l'extérieur de la maison.
L'endroit doit être aéré. Ouvrir la porte d'un placard
peut être une ventilation suffisante si l'endroit n'est pas éclairé
de gros éclairages qui génèrent de fortes chaleurs.
Des ouvertures séparées et une ventilation entrantes sont
mieux. Un en haut de la pièce pour évacué l'air par
un grenier ou par le toit, et un pour ammené l'air un mur extérieur
ou par le sol. Utilisez des ventilateurs de vieux ordinateurs qu'on vend
dans les surplus électroniques pour quelques dollards. Interrupteurs
graduels peuvent être utilisés pour régler la vitesse
et le bruit des ventilateurs. Utilisez du sillicone pour fixer le ventilateur
dans un tube de PVC de 10 à 15 cm de largeur, poussé dans
un trou rond découpé dans le sol et le plafond. Utilisez
beaucoup de sillicone pour amortir les vibrations du ventilateur, de manière
à ce que les murs ne fassent pas résonner les oscillations
des ventilateurs.
Recouvrez les murs de feuilles d'aluminium, la face mat collée sur
le mur pour diffusé la lumière et éviter les points
chauds, ou peignez les murs en blanc brillant pour réfléchir
la lumière (Personnellement, je vous conseille l'intérieur
des sacs de chips, l'aluminium qui s'y est sans doute un des meilleurs
réflecteurs que l'on puissent trouver). Le mylar aluminizé,
1mm d'épaisseur est mieux (réflectibilité de 85 à
90%). Les miroirs quoique bon réflecteursne sont pas bons à
utiliser, car le verre mange la lumière! De bons réflecteurs
augmentent la puissance de la lumière de 35%.
Recouvrez le sol de plastique en cas de fuite d'eau. Installer une prise
et soyez sûr que le câblage supportera les lampes que vous
utilisez. Placez toujours le ballast pur des lampes HID sur une étagère,
de manière a ce qu'elle soit au-dessus du niveau du sol, en cas
d'innondation.
Une étagère à coté de la pricipale zone de
culture peut être utilisée pour les boutures et faire germer
les graines. Cela vous permettera de doubler la surface de votre zone de
culture, et vous permettera de stocker la nourriture pour plante, pulvérisateurs
et autre matériel de jardinage. Cette zone reste très chaude,
et il n'y aura pas besoin de chauffage pour germer.
Pendez un rideau blanc étanche à la lumière pour séparer
cette étagère de la zone pricipale quand vous l'utiliserez
pour la floraison. Cela permettera d'avoir une lumière constante
pour l'étagère et une période noir pour la zone principale.
On peut utiliser du Velcro pour maintenir le rideau en place et des liens
peuvent êtres utilisés pour l'enrouler. Du vinyle noir avec
dos blanc est celui qui va le mieux.
Maintenant vous avez besoin de lumière. Une paire de fluos seront
nécesaire si vous voulez seulement démarrer les plantes à
l'intérieur et les mettres à l'extérieur pour pousser
dans une petite serre. Utilisez un tube "Cool White" et un "Warn Light"
pour avoir le meilleur spectre de lumière pour la croissance des
plantes. N'utilisez pas les types "Grow Lux" car ils ne produisent pas
autant de lumière. Si vous ne trouvez que des "Cool White", utilisez
les, ils vont bien et sont les moins chers.
3)
Trouver le bon endroit est essenciel. La sécurité demande
une porte que vous puissiez fermer, des murs suffisament épais pour
bloquer le bruit, et il doit être étanche à la lumière.
Les plantes demandent une régulatione en température et humidité
indépendante du reste de l'habitation, une conduite pour introduire
de l'air frais et une autre pour extraire l'air consommée tout en
minimisant les échanges d'air intentionnels pour piéger le
CO2 que vous introduirez. Gardez en mémoire que l'eau, la saleté
et des bouts de plantes tomberons sur le sol.
Un endroit dans le sous-sol est le meilleur choix. Une chambre à
l'étage n'est qu'un pauvre second et une pièce inutilisée
n'est pas mieux. Quoique vous choisissiez, votre premier travail est de
tout nettoyer,y compris le plafond, qui doit être
au moins à 2,1 mètre.
Placez des feuilles de plastiques noir sur les fenêtres, pour éviter
les coups d'oeuil, joignez la mousse expansé avec du scotch large.
La taille de la pièce dépend du nombre de plante que vous
ferez poussez. Si vous cultivez à partir de graines, comme la plupart
des débutants font, calculez que 50% serons male et tous exepté
un ou deux (gardé pour la reproduction) seront détruit. Alors
vos besoin en place évolurons durant le cycle de croissance.
10 à 15 femelles poussant durant quatre à cinq mois, à
partir de graine serait, selon moi, une bonne chose pour votre première
récolte. Ce qui veut dire de démarrer avec 20 à 30
plants. Cela tiendra dans un espace de 3x3.5 mètres en utilisant
une lampe de 1000 watts métal halide. Durant la floraison, vous
ajouterez une deuxième ampoule de 1000 watts au sodium haute pression,
qui demandera son propre système d'allumage (ballast, prises, etc).
Une mesure à la louche c'est sept plante en floraison de 120 à
150 cm de hauteur à parir du niveau du sol par ampoule et c'est
le maximum.
Un ventilateur d'extraction enlève l'air humide usé et ramène
de l'air frais. Le ventilateur que vous acheterez aura un débit
par minutes (Mètre cube par minute). Achetez en un d'un cinquième
du volume de votre chambre. Une pièce de 3 mètre par 3.5
mètre et de 2.1 mètre de hauteur à un volume de 12,6
mètres cube. Elle aura besoin d'un ventilateur de 2,5 mètre
cube par minute. Ce qui permet au ventilateur de fonctionner cinq minutes
pour un échange complet de l'air, tout ce que vous avez besoin à
chaque cycle d'extraction.
Montez le ventilateur près du plafond, à pas de plus 60 cm
plus bas au maximum. Heureusement vous acheté un ventilateur de
type "cage écureuil" et la sortie est facilement emboîtée
dans un tube flexible de 12 cm de diamètre. Si vous sortez sortez
par une fenêtre, comouflez la sortie et surtout faite attention aux
voisins proches qui pourraient sentir la fraîche et douce odeur de
votre cannabis. Un meilleur choix est la trappe à cendre de la base
de la cheminée d'un fourneau. Faites attention à être
en dessous de la sortie de la fumée du fourneau ou alors la chambre
de culture sera remplie de fumée...
Pour pendre
la fixation de la lampe HID, utilisez des poulies et une corde. Vous la
monterez et la descendrez beaucoup. A mon avis, un réflecteur est
nécessaire de 120 cm de large, en cône plat. Dans le sous-sol,une
prise de 220 volt 30 ampères
doit être disponible. Si ce n'est pas le cas, envisagez sérieusement
de payer un électricien pour en installer une avant de démarrer
le projet. Il est crucial de pouvoir fournir la demande d'électricité
pour le ballast de la lampe. Sur un circuit de 220 volts 30 ampères,
le ballast prend 4.5 ampères. Il y a de la place pour utiliser trois
lampes de 1000 watts. Le ballast à besoin de 50% de plus au démarrage.
Les lampes sont toujours (du moins je vous le recommande très fortement)
régulées par une horloge. Achetez en une égal à
l'ampèrage de votre circuit. Je recommande que le cycle végétatif
de 18 heures marche de trois heures de l'après-midi à huit
heures du matin quand vous avez la chance d'être à la maison
(Les risques d'incendies sont minces mais ne les négliger pas).
Essuyer la lampe avec de l'alcool après l'avoir vissée, puis
allumez-la.
Quand l'ampoule a démarré, démarrez le ventilateur
de circulation d'air. Il doit y avoir un diamètre de 20 centimètres
ou plus et avoir un balayage de 90 degrés ou plus. Mettez le sur
quelque chose ou pendez le de manière à ce qu'il fasse bouger
l'air dans la couche de 90 à 150 cm. N'oublié pas que c'est
le vent qui rend vos tiges fortes et solide, avec un ventilation, les tiges
de vos plants ne seront pas aussi solide qu'à l'extérieur
mais ils seront apte à supporter le poid des feuilles. Démarrez
le et prenez un bloc note, un thermomètre et un hygromètre
(pour mesurer l'humidité). Mettez les instruments à 10 cm
du sol et prenez des mesures toutes les quatres à six heures d'un
cycle complet de 18 heures.Cette phase est cruciale! L'humidité
ne doit dépasser les 60%. La température durant le cycle
doit être entre 19 et 29 degrés celcius.
Si la température est supérieure à 29 degrés,
enlevez le ballast de la chambre de culture, sinon laissez le dedans, la
chaleur sèche diminue l'humidité. Si la température
approche de 29 degrés vers la fin des 18 heures, c'est OK. Si elle
est à 29 degrés plus tôt dans le cycle éclairé,
faite fonctionner le ventilateur d'extraction pendant un cycle de cinq
minutes, puis regardé de combien la chaleur diminue et pour combien
de temps.
Basiquement, vous cherchez à identifier les moments où vous
allez déclencher les ventilateurs d'extraction pour maintenir la
chaleur au sol dans une gamme tolérable. Notez les intervalles nécessaires.
L'humidité dans le sous sol peut être un problème,
si elle est supérieure à 60% sans aucune plantes dans la
chambre de culture, elle augmentera quand elles seront à l'intérieure
et les pourritures et les champignons pourront devenir un problème.
La réponse est un déhumidificateur ou un oeil vigilant sur
les pourritures.
Après que le cycle de lumière ait terminé, la température
tombera. Jusqu'à 15 degré c'est OK. L'humidité augmentera.
Après que les plantes soient dedans, ajouter des cycles d'extraction
pendant la période noire marchera si le sous sol est relativement
sec à l'extérieur de la zone de culture.
Si les amplitudes de l'humidité et de température sont bonne,
alors l'horloge que vous avez acheté pour contrôler les ventilateurs
d'extraction aura deux cycles à 12 heures d'intervalle, pour introduire
suffisament d'air frais pour une bonne croissance. Quand vous aurez de
l'expérience en culture, vous pourrez utiliser un thermostat/humidistat
pour contrôler le ventilateur. Les injections au CO2 sont très
partiques. Je croit que les meilleur condition de basse température
nocturnes étaient environs 16 degrés, 27 degrés le
jour et avec une humidité de 40%.
.
Étape 02, L'éclairage
Il faut comprendre tout de suite, sans réticence, que le succès d'une culture intérieure de marijuana dépent entièrement de l'éclairage.
A l'intérieur, 2000 lumens pour un carré de 30x30 cm est
un minimum. Si vous passez en dessous de ce point, la croissance de la
plante ne sera pas plus rapide et l'entre noeud/tige sera augmentera. Aussi,
la distance entre la lumière et les plantes sera beaucoup plus critique.
Des ajustement journalier de la plante seront nécessaire, alors
ne prenez pas de vacance.
2500 lumens pour un carré de 30 cm sont bon, et 3000 optimums si
vous aller injecter ou enrichir les niveaux de CO2 (Nous verrons cela plus
loin dans ce texte).
Les lampes à décharge à haute dentisité (HID)
sont les meilleures solutions pour la pluparts des cultivateurs d'intérieur.
Il y a trois catégories de lampes HID: Les sodium haute pression
(HPS), Métal Halide (MH) et au vapeur de mercure (MV). Le métal
halide est un spectre éprouvé. Les HPS ont une couleur jaunissante
comme certaine lampes de rues. Les lampes HPS peuvent être utilisé
pour faire pousser un lot du début à la fin. Les tests montrent
que qu'une culture sous HPS arrive à maturité une semaine
avant les cultures se servant de la lampe MH, mais ne sera pas une plus
grosse récolte. Plusieurs cultivateurs pensent qu'ils est mieux
d'attendre une semaine de plus. Quand à la lampe au vapeur de mercure,
un récent débat sur son cas à prouvé qu'elle
était fortement cancérigène.
Le HID est le plus facile à acheter, et le moin cher initialement
sont les lampes fluorescentes au vapeur de mercure. Les MV ont un rendement
de 8000 lumens pour 175 watts, et les HPS de 150 watts environs 15 000
lumens. Les HPS ont donc un rendement deux fois plus efficaces et le spectre
de couleurs des lampe MV n'est pas aussi bon. Les HPS sont forte en rouge,
qui va bien pour la floraison, cependant le MH est riche en bleu, nécessaire
pour un meilleure croissance végétative. Les lampes MV produisent
le pire spectre pour la croissance des plantes, mais elles ne sont pas
chères à l'achat. Elles ne sont pas recommendées,
tant que vous ne les avez pas gratuitement, et même le ratio électricité/efficacité
annule l'économie du coût initial.
Les HPS de 400 watts produisent environs 45k lumens. Chaque fois que vous
utilisez en continu 500 watts, vous payez environs 35$ (270 Francs) d'électricité
par mois (le tout dépend aussi de vos connexions et de vos pertes
de courant). Il est alors évident qu'une lampe utilisant la moitié
moin de sa puissance pour fournir autant de lumens (ou deux fois plus de
lumens pour la même puissance) se remboursera en un an. C'est un
calcul initial simple de coût d'achat contre coût d'exploi-
tation, et qui ne tient pas compte de la croissance plus rapide et l'augmentation
de la récolte que la lampe HPS vous procure, du à plus de
lumière disponible. Si c'est un facteur de calcul, la lampe HPS
s'amortira à la première récolte, a comparé
des MV ou des lampes fluorescentes, car elle est deux fois plus efficace
pour faire pousser des fleurs plus vite et plus grosses.
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Étape 03, La terre, les fertiliseurs, l'engrais et les injections de CO2
Les mélanges de terres organiques
en pot sont assez cher. Il faut des ajustements continuels de fertiliseurs
car la plante extrait le contenu originel et les problèmes d'oligo
éléments sont difficiles. Il y a aussi moin d'indulgence
au sur-arrosage ou à la surfertillation.
De toutes les approches, un mélange sans terre est le mieux. C'est
suffisament poreux pour drainer facilement (les débutants tendent
à sur-arroser), on peut le rincer d'un excédent de fertiliseur
avec un gros rinçage à l'eau (les débutants tendent
à sur-fertiliser) et c'est léger. Plutôt que les sacs
de culture je recommande les sceaux en plastique de 20 litres utilisé
pour les produits alimentaires. Vous avez besoin de 20 litres pour une
plante fleurie de quatre à cinq mois pour éviter l'étranglement
et le rabougrissement des racines. Les plants dans de trop petit pots tendent
à fleurir prématurément.
Percez six trous de 6mm dans le fond pour le drainage. Un seau de 20 litres
fait a peut près 0,3 mètres cube. Un bon mélange c'est
50% de perlite, 25% de vermiculite, 12,5% de sphaigne (pas plus) et 12,5%
de sable propre. Ajoutez 250ml de de chaux dolomitique fine à chaque
mélange de seau. Achetez les quantités nécessaires
de chaque ingrédient pour le nombre de seau que vous avez et mélangez
bien les ingrédients. C'est un travail sale, portez un masque et
soyez heureux de faire cela seulement une fois par culture. Remplissez
les seaux jusqu'au bord et mettez les dans la chambre de culture.
La suite concerne l'eau et l'application de fertiliseur. L'arrosage à
la main est mieux pour les premières semaines de vie du germe, quand
les besoins de la plante varient beaucoup et qu'elles sont plus sensible
au plus ou moins des niveaux opti-
mums. Après cela vous stresserez les plantes
en faisant votre chemin. Quand les plantes auront trois mois, il n'y aura
plus de place dans la chambre pour passer.
La distribution d'eau et de fertiliseur est mieux faite par un système
à tube. Bien installé, un système à tube est
similaire à une unité d'hydroponique sans récupération
et vous aurez plusieurs des même bénifices. Une bonne tuyauterie
permet une irrigation lente et continue, sans compactage du sol ou lessivage
involontaire. Vous avez le bon ajustement lorsque seulement une petite
quantité (125cc ou moins) sort pas les trous de drainage après
un cycle d'arrosage. Plus la plante pousse, plus vous ajouterez des cycles
d'arrosage car la plante consomme plus. Il est préférable
d'ajouter des cycles d'arrosage court plutôt que des longs. Certains
humidimètres ne sont pas très cher et peuvent mesurer le
mélange à divers endroit et vous saurez si la plante reçoit
suffisament d'eau. Testez trois pots tous dans la chambres de culture pour
avoir un exemple représentatif. L'humidité mesure le maxi
ou le midi relativement à l'humidité des racines. Je n'en
ait jamais vu un qui avait des instruction pour l'humidité des racines
de cannabis mais après les avoirs un peu utilisé, je croit
que le mini-maxi semble être un objectif à retenir.
Un proportionneur de mélange (PM) peut injecter du fertiliseur dilué
dans le système de tube chaque fois que vous arrosez. Le problème
est la dilition. Les marques "Peter's" ou "Victory Garden" sont les pour
apprendre, sont facilement disponible et se dissolvent complètement
même dans les solution fortement concentrée que vous chargerez
dans le PM. Quelque part entre 1/3 et 2/3 des proportions recommandées
pour l'application extérieure sont bonnes. Lisez les instructions
du PM et du fertiliseur pour remplir le PM convenablement. Il est toujours
mieux de sous fertiliser que de brûler les racines des plants. Elles
n'en reviennent pas très bien. "Peter's" vend de nombreux mélanges
mais la suite s'applique à peu près à tous les mélanges
commerciaux. Dans les premières semaines de la vie d'un germe, arrosez
à la main avec une solution NPK équilibré telle que
"Peter's 20-20-20". C'est un fertiliseur de transition. A six semaines
passez au "Peter's Pete léger 20-10-20". Le N (azote) relativement
plus haut promouvoie la croissance des branches et des feuilles. Le niveau
de P (acide phosphorique assimilable) relativement faible ralentit la croissance
des racines et évite la floraison prématurée. A trois-quatre
mois quand les plants fleurissent, passer au "Peter's Blossom Booster 10-30-10"
pour aider la formation florale (bourgeons).
Très pratique, j'aime les horloges programmables pour contrôler
les cycles d'arrosage. Vous pouvez vous débrouiller sans mais n'oubliez
jamais et ne partez pas en vacances. Et quand elles sont bien réglées,
elle vont tout le temps bien.
Raccordez la tuyauterie du PM et l'horloge ensemble demande un peu d'expérimentation.
Rappelez-vous deux choses: Un petit flot en bas du seau est votre objectif,
et le robinet de pression est la vraie clef. Quand vous vous demandez comment
régluler le système, pensez robinet: Plus accélère
le débit des gouttes, moins ralentit le débit.
Le sujet Des injections de CO2 peut être confus. Nous allons
sauter quelques étapes et vous donner une formule rapide. D'abord,
le ventilateur circulation marche 24 heures pas jours. Louez une bouteille
de CO2 de 2,5 kg, celles en aluminium sont plus légères si
vous avez le choix. Vous avez aussi besoin d'un régulateur de pression
pour décendre la pression de la bouteille à un niveau sûr
pour le débitmètre et l'horloge à intervalle court,
une qui a des intervalles marche/arrêt d'une minute, plus un elcto-vanne.
Indépendamment du régulateur que vous achetez, soyez sûr
de savoir vous en servir et qu'il peut réguler un flot de décharge
final de 0,6 mètre cube par heure. Ce n'est pas ce que vous injecterez!
Lisez les instructions dans le manuel qui viendra avec et posez toutes
vos questions au vendeur, après tout c'est son travail...
Calculez le volume de votre pièce. Celle que j'ai installée
fesait 24 mètres cube. Multipliez votre volume par 0,0014. Le résultat
est là, 0,034 est le cubage de CO2 que je lâcherai dans ma
pièce à chaque injection. Si votre débitmètre
est réglé à 0,6 mètre cube heure, c'est 0,01
par minute. Divisez votre objectif de CO2, ici 0,034 (le cubage de CO2
de ma pièce) par 0,01 le résultat est 3,4 ou environ quatres
minutes. Alors chaque cycle d'injection réguler par l'horloge fera
quatres minutes. Alors réglez l'horloge pour injecter quatre minutes
de CO2 toutes les deux heures et demie après le début du
cycle de lumière jusqu'à la fin. N'ajoutez pas du CO2 durant
le cycle noir, il n'y en a pas besoin. Assurez vous que chaque cycle de
CO2 arrive juste après un cycle d'extraction et synchronisez les
horloges ou vous perdrez du CO2. Fixer la sortie du tube de CO2 au centre
du plafond pour permettre au gaz de flotter en tombant sur les plantes
et d'être mélangé par le ventilateur de circulation
qui marche 24 heures par jours.
Tout cela peut sembler compliqué et franchement, une bonne chambre
de culture est plus dure à faire que ce que vous pensez. Mais si
vous la faite bien la première fois, c'est comme le vélo,
vous n'oublirez jamais...
.
Quand vous faite pousser à
partir de graines, comme vous verez probablement la première fois,
le problème sera la récolte par plante. Mais au fur et à
mesure que vous faits pousser votre première culture, vous apprendrez
à faire des boutures et avec les boutures le problème deviendra
une production par surface de culture. C'est la bas de production pour
les opérations commerciales de culture.
A moins que vous ne fassiez pousser des variété différentes,
vos plants seront de taille et d'apparence relativement semblable au point
de commencer la floraison.
Démarrez avec un nombre plus grand nombre de graines que votre objectif
de plant mature, environs 100 graines pour 25 adultes.Trempez les graines
dans de l'eau à la température ambiante pendant une heure
pour ramollir la coquille et commen- cer la germination. Vous trouverez
beaucoups d'autres information sur le sujet dans nos pages sur les graines.
L'environnement de germination préférable est les cubes de
tourbe. Acheté, compressés et secs, ils gonflent à
pleine taille quand ils sont trempé dans l'eau pendant une demi-heure.
Après avoir été trempé, fendez le filet d'emballage
pour faciliter l'extraction ultérieure et mettez une graine dans
chaque cube de 0,3 à 0,6 cm de profondeur.
Notez
la texture ou la couleur des cubes humides. Il est essentiel de la maintenir
jusqu'à ce que les cubes soient plantés dans les sceaux de
culture. Initialement mettez les cubes dans une boîte de plastique
à 70 cm en dessous de bout de la lampe HID (1 000 watts, clair ou
recouverte de phosphore). Commancez le cycle de 18 heures de lumière
qui caractérise le cycle de culture végétatif maintenant.
Si vous pouvez contrôler la température de la chambre de culture,
poussez à 27-30 degrés C et maintenez la à ce niveau
pendant les sept premiers jours. Si la pièce est plus fraîche,
sur élevez la boite de cubes de 30 à 60 cm du sol (ajustez
la lampe après cela) ou il sera plus chaud.
Commencez à prendre des notes le jour ou vous mettez les graines
dans les cubes. Notez régulièrement les mesures clefs, tel
que la température de l'air, le taux d'humidité de la pièce,
l'humidité des racines, taux de culture. De bonnes notes seront
plus utiles que ce que vous imaginez.
D'habitude,
je suis fortement opposé à l'application de fongicides/pesticides
sur les plants. L'exeption que je fais concerne la prévention de
l'humidité.Les micro-organismes qui causent la perte des récoltes
sont partout dans l'environnement, infectent même les chambres de
cultures intérieures les plus propres et peuvent facilement tuer
rapidement les jeunes pousses. Appliquez une pulvérisation de fongicide
"Caplan" dilué après que vous avez mis les graines dans les
cubes, encore trois jours après, et encore trois jours plus tard.
Une buée légère est mieux qu'une grosse douche. Rincez
les plantes avec de l'eau à la tampérature ambiante un jour
après chaque application.
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Étape 05, la transplantation
Les transplants sélectionnés démarrent dans les seaux
de culture trois jours après avoir émergé. Plus longtemps
après, les racines auront pénétrées le filet
du cube. Ces racines seront cassées quand vous enlèverez
le filet lorsque vous transplanterez et cela choquera et ralentira les
plantes.
Juste avant de transplanter, humidifiez le mélange sans terre dans
les seaux de culture. J'essaye de les amener à 7 sur un humidimètre
Sudbury. Creusez deux trou vers le centre du pot, enlevez doucement le
filet en laissant le cube intact et mettez le dans le trou avec le sommet
du cube du même niveau que le niveau du mélange. Remplissez
autour et tapotez pour assurer le contact. Placez l'émetteur de
goutte entre. Répétez cela jusqu'à ce que les 25 pots
(plus ou moins selon votre choix) aient deux pousses à l'intérieur.
Cependant, les pousses de moins de bonne qualité doivent être
mis dans des sceaux supplémentaires, "plus de fertiliseurs", "moins
de fertiliseurs", "plus d'eau" et "moins d'eau". Le niveau relatif d'eau
et de fertiliseur appliqués à ces seaux vous apprendrons
beaucoup sur les tolérances de la marijuana. Seulement les plants
à récoltés sont sous le système à goutte.
Vous arroserez ces pots tests à la main. Regardez et notez avec
attention les effets. Les plants tests seront plus ou moins abîmés
par les extrêmes. Je donne à plus de seau deux fois plus et
à moins de seau motié moins que les plants à
récolter. Plus de variations que cela fournira que cela ne fournira
pas d'informations utiles.
Étape 06, la croissance végétative en intérieur
Quand
elles ont éclos, les plants de cannabis commencent leur croissance
végétative. Ce qui veut dire que la plante va photosynthétiser
le plus possible pour pousser haute et démarrer beaucoup de pousses
à chaque paire de feuilles. Une pousse est une partie qui peut être
cloné ou propagé assexuellement. Elles sont localisées
en haut de la plante et à tous les noeuds majeurs. Si vous coupez
la plantes en haut, elle aura deux pousses en haut. Si vous les coupez,
il en aura quatre au sommet de la plante (mais cela prend du temps à
la plante pour se remettre du traumatisme causé par la taille, il
est plus rapide de faire pousser quatre petites plantes et de be pas les
tailler ou de faire pousser deux plantes et des "entraîner" à
occuper le même espace. C'est à vous de décidez la
façon que vous couperez votre récolte).
Entassez les sceaux sous la HID. Maintenez la lampe à 75 cm des
pousses. Les pousses de l'extérieur souffrirons un peu de la faiblesse
de l'intensité lumineuse. Compensez en utilisant des feuilles de
mousse expansé pour créer des murs temporaires autour du
périmètre des pots de culture. Dès que les plantes
sont sorties elles commencent à faire de la chlorophylle (Le vert
des feuilles) et peuvent bénificier de la supplémentation
de CO2. Le ventilateur d'extraction doit aussi être activé.
Pendant les sept premiers jours, la plupart de la croissance à lieu
en dessous du sol. La stusture des racines s'étend rapidement (elle
remplira un seau de 20 litres en quatre semaines) pour supporter la croissance
végétative ultérieure. A 10 jours, surveillez les
seaux et enlevez la plante qui pousse le moin en coupant au niveau du mélange.
Ne la tirez pas, vous abîmeriez la structures des racines du plant
de cannabis restant.
Maintenant vous avez 25 seaux avec un plant comme culture principale et
quatre seaux test avec deux ou trois plants dedans. Les seaux test n'ont
pas besoin d'être réduit à une plante. Durant les deux
ou trois premières semaines, essayez d'avoir une humidité
des racines de 2 à 2,5. Pour cela, appliquez 450 à 750 grammes
d'eau fertilisée le lundi, mercredi et vendredi, une heure après
l'allumage de la lampe.Cela s'applique au seaux de culture utilisant le
système goutte à goutte contrôler par l'horloge avec
un mélangeur/proportionneur. Le dimanche oubliez l'horloge et ajoutez
de l'eau selon l'humidité des racines, le taux de croissance et
l'apparence générale des plantes. Les seaux tests reçoivent
leur eau à la main.
Vous lirez beaucoup le PH des plantes. Les mélanges sans terre ont
un effet buffer, modérant l'eau qui est trop alcaline, ou acide
près de la gamme 6,6 à 7,1. Dans de rares cas, l'eau du robinet
remplissant votre système peut être acide ou basique qu'il
en résultera une mesure de PH au-dessous ou au-dessus de cette gamme.
Si cela arrive, utilisez des concentrés de PH haut ou de PH bas
qui peuvent être acheté dans des commerces qui fournissent
du matériel hydroponique, qui ont beaucoup de concentrés
pour la régulation du PH. Ces ajuateurs de PH sont ajouté
au mélangeur/proportionneur avec le concentré de fertiliseur
jusqu'à ce que la solution qui goutte ait un PH acceptable.
Quand votre plant pousse, vous devez ajuster l'horloge du contrôle
des gouttes. Réglez pour maintenir une humidité plus faible
d'un ou deux sur l'humidimètre. Juste après le cycle d'arrosage
elle sera plus forte et les jours sans, plus sèche. Une bonne perspective
générale sur l'arrosage est de noter que dans la nature,
les plantes démarrent les mois humides du printemps et arrivent
à maturité sous les conditions de l'environnement sèche
de l'été.
L'application de fertiliseur à lieu à chaque arrosage en
utilisant le système goutte à goutte décris plus haut.
Les cinq premiers jours, appliquez une solution diluée d'Ortho Upstart.
Puis passer au Peter's 20-20-20 appliqué au taux d'une cuillère
à café pour quatre litres d'eau pendant deux semaines. Après
cela, passez au Peter's Lite 20-10-20 pour le réglage du cycle végétatif.
La mesure la plus efficace de l'application de fertiliseur et d'eau est
le taux de croissance. A quatre semaines de la date de démarrage,
les plants feront en moyenne 23 cm et feront toutes plus de 15 cm. Les
plantes indicas seront un peu plus petite mais très large. La sativa
sera plus grande et plus étroite. Aux alentours de la quatrième
semaine, le plant va décoller avec une pousse d'au moins 1,5 à
2,5 cm par jour, Mesurez les tous les quatres jours et faite un graphique
de tous les plants. La croissance doit être soutenue pendant toute
la période végétative. Un jaillisement soudain ou
un retard peut annoncer un problème. Referez vous aux notes que
vous avez prises trois à cinq jours avant que vous ayez vu quelque
chose changer. Les changements dans l'application de fertiliseurs et d'eau
ne montrent pas des effets immédiats, cependant les plants continuellement
sous arrosés jaillisent en une nuit après un bon arrosage.
Et aussi une couleur verte doit prédominer. Les plants dans les
sceaux avec "plus" de fertiliseur doivent être d'un vert très
foncé et montrer des traces de brûlures sur le bord des feuilles.
Les plantes sans les sceaux avec "moins" de fertiliseur pousseront doucement
avant de jaunir, mais vous revenir au fertiliseur et regarder les effets
pour gagner de l'expérience. Les plantes avec "moins" d'eau ont
l'air normal mais sont plus petites. Point d'intérêt: Les
plants qui ont reçus "trop" d'eau, si c'est suffisament sévère,
immergera des racines et le bout de la plante jaunira, mimant une déficience
d'aliment. Un désastre classique du débutant est de sur-arrosé
jusqu'à ce que la plante jaunisse, le confondre avec une déficience
en aliments et appliquer de ce fait une grosse shoot de fertiliseur et
brûler la plante. Là, je parle de mon expérience sur
le dernier point.
L'intensité de la lumière est augmentée en rapprochant
la lampe des plantes. Laissez la à 75 cm au-dessus de la surface
du mélange les quatres premières semaines, laissant la plante
vers elle. À quatres semaines, ramenez la à 30 cm de la plante
la plus proche. Une semaine après, ajustez la à 15 cm. Après
cela, vous maintiendrez la lampe à 15 cm des plants toujours en
vérifiant si la température est correct et stable.
Répartissez les plantes au fur et è mesure qu'elles poussent
pour éviter les recouvrements extrêmes de feuilles. À
quatre semaines, les sceaux s'étendrons sur la moitié d'une
chambre de culture de 3x3,5 mètres. À la taille de 10 semaines,
elles la rempliront.
La période végétative finit, le plus économiquement
et pratiquement jusqu'à ce que les plants fassent de 80 à
90 cm à partir de la surface du mélange. Une pièce
avec une température plus élevée pendant le cycle
de lumière (27 à 30 degrés), un niveau de CO2 enrichi
et des plantes correctement tenues avec des applications correctes de fertiliseur
et d'eau sera prête en huit semaines. Les pièces plus fraîches,
sans CO2 et des procédures d'entretient erratiques des plants, peuvent
prendre quatre à six semaines de plus. La suite va couvrir le passage
de l'état végétatif au cycle de floraison.
Toutes
les plants ont un état végétatif où ils poussent
le plus rapidement possible après que la plante ait germée.
Il est possible de faire pousser un plant sans période noir et augmenter
leur vitesse de pousse de 15 à 30%. Les plants peuvent rester indéfiniment
en croissance végétative. C'est au jardinier de décider
lorsqu'il forcera ses plants à fleurir, il y a alors un grand intervalle
ici pour dirigé le jardin basé sur des buts et l'espace disponible.
Comme dit plus haut, une solution de 20-20-20 avec des micros aliments
est utilisés aussi bien pour le jardinage en terre ou hydroponique
quand ont fait pousser une plante sous une lumière continue. Une
nourriture forte en P tel que 5-50-17 est utilisé pour faire
épanouir et fleurir les plants quand ils commencent les jours de
12 heures. Le sulfrate de magnésie (1 cuillère à
café) peut être utilisé en solution pour le magnésium
des minéraux sulfureux. On a aussi besoin de macro aliments.
Maintenez la lumière en continu pour germer, car elles n'ont pas
besoin d'une période noir comme les plants plus vieux. Vous n'aurez
pas besoin d'horloge tant que vous ne voudrez pas arrêter l'éclairage.
Essayer d'éviter les plants 18 heures et plus ou en continu à
ce point.
Courbez la tige d'une plante encore jeune en avant et en arrière
pour la forcer à être épaisse. Les tiges tournantes
ne peuvent supporter les fortes croisance en fleurs. Un ventilateur interne
oscillant réduira l'humidité et les stomates des feuilles
et augmentera la force des tiges. L'importance de la circulation d'air
fera de l'exercise à la plante et les fera devenir plus grosse,
tout en réduisant les problèmes qui peuvent ruiner une culture.
La
floraison est vraiment un étape fascinante, pour le cultivateur,
c'est un moment extraordinaire. En quelques semaines, l'apparence et le
caractère des plantes changent dramatiquement. Pour provoquer la
floraison, il faut simplement réduire le cycle de lumière
de 18 heures à 12 heures. Le nouveau cylcle est maintenu jusqu'à
la récolte. Le moment de fleurir est à votre initiative,
mais certaines considérations pratiques déterminent le moment.
Les plantes à partir de graines ne doivent pas être fleuris
avant quatre ou cinq semaines. Avant cela, le ratio bourgeons et déchets
sera bas et les problèmes d'inversion de sexe peuvent augmenter.
Aussi, plus jeunes sont les plants, plus longtemps il faut pour qu'ils
réagissent à la réduction de photopériode et
commencer une formation florale vigoureuse. La meilleure règle à
respecter est de fleurir les plantes démarrées à partir
de graines lorsqu'elles feront 90 cm de hauteur ou/et qu'elles auront trois
mois, ce qui arrive en premier. Si vous faite tout correctement avec la
lumière, l'eau et le fertiliseur, plus l'abjonction de CO2, elles
seront prêtes en huit ou neuf semaines.Avant ou après ce moment,la
ratio bourgeon/taille de la plante est moins favorable pour la plupart
des souches.
Quand vous réduirez la lumière, vous devez faire d'autre modifications:
-Réduisez la période d'injection au CO2 de six heures à cause du cycle de lumière réduit. Les plantes n'ont pas besoin de quantité aussi significative durant la période de nuit.
-Suivez avec attention l'hygromètre quand la lumière est allumée les dix premiers jours et ajoutez un cycle d'extraction pendant la "nuit" pour maintenir l'humidité en dessous de 60% si nécessaire. La période la plus noire, le plus longue résulte en une température basse fiable, ce qui augmente l'humidité. Pour éviter cela et éviter une attaque des bourgeon par l'humidité, ajoutez des cycles d'extractions.
-Testez les fuites de lumières, particulièrement en haut et en bas de la porte de la chambre de culture. La chambre doit être absolument noire durant la période "noire". Pas d'inspection de minuit avec une lampe de poche à la main.
-Changez de fertiliseur, passez de la formule de croissance 20-10-20 à un accélérateur de floraison avec une forte proportion de phosphore 10-30-10. Après les trois ou quatre prmières semaines de floraison, discontinuez la fertilisation et utilisez de l'eau claire. N'alternez pas la concentration de l'application de fertiliseur ou la fréquence, changer seulement le mélange NPK.
-Ne réduisez pas l'eau pour promouvoir la formation de résine. inon vous réduirez votre récolte. Certains cultivateurs utilisent un mélange maison les deux dernières semaines avant la récolte. Habituellement c'est un mélange de jus de fruit dilué telle que de l'orange, de pomme ou de pamplemousse. Ils trouvent que cela adoucit les bourgeons. Cela bouche le système d'arrosage et acidifie le millieu. Il n'y a pas grande différence, mais les plants récoltés sans diminution de l'application de fertiliseur avait un goût plus amer.
-Pas de pulvérisation de toute sorte dans la chambre de culture à partir de maintenant. Elles peuvent causer la pourriture des bourgeons et fumer la plante (on n'y songeait tous...)tranférera tous ces résidus de pulvérisation dans votre gorge. N'utilisez pas de poison sur une culture que vous fumerez ou venderez.
Ajoutez
une deuxième lampe maintenant, cela augmentera l'intensité
de la lumière et conséquemment la formation des bourgeons.
Le choix préférable est une lampe de 1000 watts au sodium
haute pression (HPS). La combinaison de lumière HPS
et MH ressemble au mélange spectral du soleil de la récolte
qui arrive dans la mature en automne et encourage la formation florale.
Les lampes et les réflecteurs doivent être réglés
équidistant par rapport au centre du plafond pour assurer une répartition
les plus égals possible de la lumière. Un mobile pour lampe
circulaire est bénéfique mais pas nécessaire. Les
modèles à rails font le circuit trop lentement, ils ne sont
pas recommandés pour la culture du cannabis.
Envisagez d'inspecter votre jardin chaque jour au moins une demi-heure
les deux premières semaines de floraison si vous ne voulez pas qu'un
mâle répande son pollen et fertilise toutes les femelles de
la pièce. Après votre première récolte, vous
serez capable de distinguer les mâles des femelles quand les plants
auront de quatre à six semaines.
Spécifiquement, vous cherchez les organes sexuels immatures (fleurs)
qui se montent aux noeud du thiers supérieurs de la plante. Une
loupe x10 aide à les localiser. Les plants mâles produisent
des sacs de pollen qui ressemblent à des mini cantaloups quand elles
sont fermée et à des parapluies avec des sacs de pollen lorsqu'elles
sont prêtent à lâcher. Une fleur, même une toute
petite peut polleniser une quantité considérable de calices
femelles, ruinant votre culture de sinsémillia. Les femelles ressemblent
à deux poils émergeant d'une petite gousse. Les poils font
de 3 à 13 mm de longueur et peuvent être blanc (le pus communément),
verts, rouges-pourpres jusqu'à un bleu lavande, dans certaine souches
d'indica d'Afghanistan.
Regardez de près le développement de vos plants. Lorsque
vous aurez identifier les plants, enlevez les avant que les fleurs s'ouvrent.
Vous pouvez sauvé un ou deux mâles pour la reproduction, mais
des mesures de sécurité importantes doivent être prises
pour empêcher tous les contacts possibles entre la salle de reproduction
et votre salle de culture. Si votre souche est relativement potente, les
mâles seront fumable et vendable (à un prix très médiocre!).
Cependant, la récolte totale de la chambre de culture est une combinaison
d'un bon jardinage avec une bonne génétique. Le potenciel
est déterminé seulement par la construction génétique
de la plante et d'une période suffisante de floraison pour maturer
les bourgeons. La durée de maturation d'un plant de cannabis varie.
Plutôt de vous dire d'attendre quatre à six semaines puis
de récolter, il est mieux d'apprendre à reconnaître
un bourgeon à maturité. La suite est ouverte au débat,
mais voici ce que j'apprend aux autres et ce que j'utilise moi-même.
Dans les 10 à 14 premiers jours, la plante va allonger le tier supérieur
de chaque branche jusqu'à environs 35 cm. Après cela à
peu près toute la croissance végétative s'arrête.
Plus de feuille se formeront. Les feuilles du bas commencerons à
jaunir à cause du niveau de nitrogène plus faible dans le
fertiliseur. La plante trouve aussi pratique de cannabiliser les aliments
assimilés des feuilles du bas pour conserver l'énergie pour
reproduire.
Les plantes si elles sont en bonne santé, formeront rapidement des
calices les uns au-dessus des autres dans les formations de bourgeons de
longueur variée, avec le plus gros sur la tige principale. Durant
les 10 premiers jours, utilisez votre loupe x10 pour regarder les glandes
de résines sortir des bourgeons. Il y a quelques types de glandes,
mais recherchez celles qui ressemblent à des champignons, un petit
globule clair sur une tige claire. Les prmières semaines de floraison,
les bourgeons senturons relativement doux, les poils sortant des calices
retiendrons leur couleur originelles et les glandes de résines seront
claires.
Après ce point, l'odeur deviendra plus forte. Certaine souche ont
un odeur un peu acre, tel que l'essence, la sconse ou n'importe quoi d'autre
qui vient à l'esprit. L'odeur et la formation des glandes de résine
sont liés et c'est un signe de l'augmentation du potentiel. Les
poils de calice commenceront à blanchir et à tourner au brun
vers la base des bourgeon et cela progressera vers le sommet. Si un mâle
lâche son pollen et fertilise les calices, les poils tourneront au
marron immédiatement. Les plants bien polléniser renlentirons
immédiatement la production de nouveaux calices et commenceront
la phase de production de la graine. Les plantes légèrement
polléniser continuront.
La clef de la maturité c'est les têtes de résines.
Quand la majorité du nuage central de bourgeons blancs laiteux tournent
à une couleur rougissante, le bourgeon est mûr et le reste
de la plante n'est pas loin. Si vous inspectez vos plants régulièrement,
vous ne raterez pas cette phase.
Les grandes feuilles jaunirons et tomberons rapidement quand la plante
est prête à être récolté. Certaine autant
que des petites feuilles soutenants les bourgeons, peuvent tournées
pourpre ou rouille. Ce n'est pas un signe de potenciel supérieur
comme certain le croient. C'est génétiquement lié,
mais essenciellement un signe de vigueur déclinante, comme les feuilles
d'arbres changent de couleur en automne avant de tomber.
Étape 08, la pollenisation intentionnelle en intérieur
Quand
vous avez isolé un ou deux mâles sélectionnés
comme des donneurs de pollen, mettez-les dans une pièce ensoleillée
avant que leur fleurs arrivent à maturité et répandent
leur pollen. Un piège à pollen peut être fait en utilisant
un petit sac de papier marron. Découpez un trou carré de
8 cm sur une face et collez une feuille de plastique pour le boucher. Le
sac respirera suffisament pour éviter d'abîmer la plante.
Glisser le sur la tige de la plante et fermez-le à la base avec
de la ficelle. Maintenez le sac fermé mais ne pincez pas la tige
du plant. En 10 jours, vous verrez les fleurs mâles s'ouvrir et lâcher
du pollen.
Pour capturer le pollen, agitez le sac pour enlever le pollen de la plante.
Coupez la tige, en dessous du sac. Retournez le sac, ouvrez le et retirez
la tige en l'agitant pour faire tomber le plus de pollen possible dans
le sac, puis posez un papier glacé plié au millieu sur une
surface plane dans une pièce propre. Retournez le sac quelques centimètres
au-dessus pour faire tomber le pollen et les fleurs dessus. Par la suite,
collectez le pollen dans le pli et mettez le dans une boîte de pellicule
de photo. Mettez une étiquette de la source sur la boîte.
Il existe deux manières de polleniser les femelles que vous avez
sélectionnés. Une petite quantité de pollen peut être
mise dans un sac, qui est placé sur une basse branche d'une plante
avec des pistils mûrs. Nouez le sac sur la branche et agitez la branche
pour assurer le contact entre les pistils et le pollen.Laissez le un jour
ou deux. Mettre et enlever le sac peut répandre le pollen sur les
autres plants.
Conséquemment, je préfère appliquer le pollen directement
à partir de la boite de film en utilisant un petit pinceau. Touchez
légèrement le pollen avec le bout du pinceau et touchez directement
les pistils frais. Vous pouvez faire environs trentes graines viables en
une minute de cette matière. Je trouve que le pollen est beaucoup
plus facile à contrôler de cette manière. Arrêtez
les ventilateurs quand vous faites cela.
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Vous pouvez trouver beaucoup d'autre informations
utiles dans nos textes:
Sea of green (Mer de vert), La culture hydroponique,
La récolte et le bouturage.
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